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Cocazine
(Juin 2004)
Ocho Y Media - ¡Llegó la hora
!
Avec plus de 250 concerts au compteur, le gang le
plus actif du Paris latino est une infernale machine à se déhancher.
Loin des pastiches et autres imitateurs, leur son ne triche pas.
Une authentique joie baigne chacune de ces plages.
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Zic
à zine
(magazine internet :www.zicazic.com)
IIl y a un avenir dans la salsa made in France et Ocho
Y Media s'efforce de le prouver au travers de ce premier album qui fait
suite à une première démo publiée en 2002.
Après quatre ans d'existence, le collectif parisien de onze musiciens
persiste dans ses efforts pour mettre en valeur une musique chaude et
goûteuse où les cuivres rejoignent les percussions et où
les cordes imposent une touche sensuelle. Conduit par deux chanteurs,
Ocho Y Media est une bouffée d'air pur envoyée à
la face d'un pays où la musique tend à se scléroser.
Et ce ne sont pas les spectateurs de les 250 concerts passés qui
viendront prétendre le contraire !
Ocho Y Media outrepasse les limites strictes de la salsa en y insufflant
des influences occidentales telles que le rap ou le jazz et se présente
comme un groupe à l'identité culturelle forte. Pas évident
de chanter le soleil quand on vit dans la grisaille parisienne et pourtant
Claudia et Bruno y parviennent avec un brio qui scotcherait n'importe
quel méditerranéen à la langue bien pendue. Incitant
en général à la danse, la musique d'Ocho Y Media
est souvent gaie et variée mais aussi parfois nostalgique et sombre.
De salsa en mambo et de bomba en descarga, " ¡ Llegó
La Hora ! " est un album à la diversité épatante
et on se plaira à relever les morceaux charmeurs que sont "
Venga ! ", " Atletico ", " Pesadilla " ou "
Mambo ocho ". Si vous êtes amateurs de rythmes colorés
ou si vous avez tout simplement besoin d'un peu de soleil, cet album est
pour vous !
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Rubrique « coups de
cœur »
(Lylo 15 au 28 Mai 2004) Ocho Y Media -
¡Llegó la hora !
L’heure du défilé comique, aux rythmes de joie et d’accords
ensoleillés, est arrivée avec ce combo de onze comparses qui
joue du « Fellini Sabor » à la salsa pure et du dub latino
au mambo certain.
Lylo (les yeux les oreilles) |
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Nord Eclair
(n°141 - 15 et 16 juin 2003)
Lille : la « Noche » a fait le plein
de danseurs en sueur
Tout ce que Lille et la région comptent d’aficionados de
danse salsa et autres rythmes brésiliens se sont donné rendez-vous
samedi soir sous les chapiteaux de la NOCHE. A 23h ils étaient
déjà plus de 3000…
La soirée a commencé tôt, dans les allées du
jardin des plantes où s’étaient installées
les tentes des associations altermondialistes conviées à
la fiesta. Dès 19h, les premières percussions ont retenti
et les planches du « Palladium Ballroom » ont commencé
de vibrer sous les déhanchements des danseurs, bien décidés
à terminer la soirée en sueur. Un petit cours de danse par
Mike O. venu de Bruxelles, et les premiers arrivés étaient
au fait des pas de danse les plus techniques…
Alfredo Rodriguez était aux commandes pour chauffer doucement la
salle, jusqu’à ce que la OCHO Y MEDIA, groupe phare de la
scène latino parisienne vienne mettre le feu.
[etc]
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Radio Nova (mai 2005)
"Ce groupe de salsa "punktuelle" comme ils se qualifient
eux-mêmes, est sans doute le plus tonique ici en France. Il faut
dire que le paysage latino-cubano s'est largement dégradé
et que la salsa part en sucette, ces dernières années.
Ocho y Media a des arrangements tranchants et une chanteuse véner-vitaminée.
Ils invitent Mango Molas, un groupe de 8 musiciens... slovaques (eh
! oui) qui font de la rumba (ben, dis donc !) qu'on découvrira
pour la première fois en France. Les charmes cachés de
la nouvelle Europe musicale, en fait !"
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Magazine Free
Music –Fév 2005
http://www.freemusic.cz/clanky/3646.html
(traduit du tchèque)
J’avais d’abord du mal à croire
que Ocho y Media ne soient pas originaires d’Amérique Latine,
mais ils viennent en fait de Paris. Car on ne s’attend quand même
pas à une salsa aussi torride chez des européens «
froids », surtout pas sur le premier album !
Douze morceaux en espagnol (peut-on imaginer une autre langue pour la
salsa ?) qui font un peu penser à Buena Vista Social Club, feront
danser ou au moins taper du pied toute personne ayant des oreilles bien
placées. Etant donné l’âge moyen des onze (!)
musiciens, les morceaux dépassent néanmoins le tempo habituel
des retraités cubains.
« Llego La Hora! » envoie ses rayons de joie - une joie sincère,
presque animale - à la ronde.
Parfois le groupe mélange ses chansons énergiques avec du
rap, Yescarga 2 donne l’impression d’entendre une des variations
de l’immortel Oye como va de Santana. “Onze salsas et pas
une de plus” et pour la dernière, le groupe s’offre
un voyage au cirque sur “Otto e Mezzo”. Ils ne nous laissent
pas dans le doute – dans une mélodie spectaculaire, faite
à la mesure du chapiteau, apparaissent même les bruits de
la faune sauvage.
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INFOGROUPE
http://www.info-groupe.com/index.php?id=468
La Ocho Y Media (salsa ponctuelle), Le groupe de
salsa !! Avec 11 irréductibles gaulois, sans montres, mais avec
des vrais t-shirts !
Le Grand Cirque de la Salsa, avec un yéti au piano, mais aussi
entre autres un bassiste bulophage, un canari des montagnes, une chanteuse
déchaînée, un coucou décoiffé, plusieurs
lapins un peu partout, et un phénoménal timbalero qui n'a
pas de rival !
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SALSA
04
Ocho Y Media outrepasse les
limites strictes de la salsa en y insufflant des influences occidentales
telles que le rap ou le jazz et se présente comme un groupe à
l'identité culturelle forte. Pas évident de chanter le soleil
quand on vit dans la grisaille parisienne et pourtant Claudia et Bruno
y parviennent avec un brio qui scotcherait n'importe quel méditerranéen
à la langue bien pendue. Incitant en général à
la danse, la musique d'Ocho Y Media est souvent gaie et variée
mais aussi parfois nostalgique et sombre. Après sept ans d'existence,
le collectif parisien de onze musiciens persiste dans ses efforts pour
mettre en valeur une musique chaude et goûteuse où les cuivres
rejoignent les percussions et où les cordes imposent une touche
sensuelle (sic !). Ocho Y Media est une bouffée d'air pur envoyée
à la face d'un pays où la musique tend à se scléroser.
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E.Concha
– SALSAPACA – Janv. 06
"Le Phénomène
De retour de Cali j'ai pu constater l'engouement et la déferlante
que provoquent les formations européennes en Colombie ; j'étais
sonné, sidéré et agréablement surpris d'écouter
dans plusieurs radios le morceau PESADILLA du groupe parisien "Ocho
y Media" ; mais plus étonnant encore c’était
de « voir » que ce « petit » groupe avait remplacé
dans le cœur des caleños l’envie, l’irrévérence,
l’agressivité et les « montunos quejumbrosos »
des années 70. Ocho y Media déploie une salsa colorée
qui se colle aux oreilles et fait bouger les pieds.
Les DJ’s de boites de nuit, les animateurs radio, les mélomanes,
les chauffeurs de taxi ; dans les clubs raffinés ou dans les troquets
des quartiers défavorisés, tout public confondu... On se
demandait d’où sortait ce groupe... "C'est un groupe
français disait quelqu'un", et la chanteuse ? Elle chante
sur le tambour ! "Elle s'appelle Claudia, et porte un nom de famille
russe ou quelque chose comme ça..."
Et les cuivres ? "Des français aussi, je croit..." Ca
alors! c'est super, des hards montunos style El Barrio d'autrefois, le
top!
Devant l’invasion du Reggaeton, des pseudos merengues, vallenatos
"sin alma" et autres inconsistances commerciales, la Salsa et
le Latin Jazz que font les nouveaux groupes dans le Vieux Monde apportent
un nouveau souffle avec des travaux discographiques de très bon
niveau. Merde alors ! Un phénomène est en train de faire
surface, le retour d’une sonorité perdue, ensevelie par les
modes et le commerce. "
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